Le contexte du développement des ICC africaines

  • Les industries culturelles issues du patrimoine africain sont en plein essor aussi bien en France qu’en Afrique. Les entrepreneurs d’origine africaine sont à l’avant-poste de cette transformation.
  • En France, Il existe une vitalité créatrice, stimulée par une forte demande locale de récits de soi correspondant à une vision authentique. Le dynamisme des filières des industries culturelles, musique, spectacle vivant (humour, théâtre, danse…), cinéma, livre, mode, médias, et plus largement d’autres secteurs de l’entrepreneuriat témoignent de cette réalité.
  • L’Afrique, foyer naturel de diffusion des entrepreneurs culturels français d’origine africaine, avec sa diversité culturelle, une population jeune, connectée et en pleine expansion, renferme des richesses convertibles dans l’économie. La production musicale, cinématographique et les médias jouent aujourd’hui un rôle moteur dans la croissance de l’emploi au sein des industries culturelles et créatives, cependant les marchés restent mal structurés : les biens culturels sont en grande partie offerts par le biais de l’économie informelle. Les ICC réprésentent en Afrique et au Moyen Orient : 49Md$ de revenus – 1,1% du PIB – 2 millions d’emplois – 3,5Md$ dans l’économie informelle (source étude EY 2017)
  • Les principales organisations régionales africaines, UEMOA, CEMAC…et les bailleurs internationaux AFD, BAD, se positionnent sur les ICC. Ils se donnent pour mission le renforcement des entreprises et industries culturelles, la formation, la création d’emplois, l’amélioration des conditions de vies des populations et le développement humain.
  • Les créateurs et les entrepreneurs culturelles manquent d’informations et d’outils pour participer pleinement à ces changements.
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